Marcher pendant des heures c’est peut-être insensé celui qui la fraicheur de ses boisons gardées dans le frigo domestique reste le but de sa vie.
Faut savoir que à la montagne pas besoin de rafraîchir l’eau qui coule sur des cailloux, eux même enterrés presque dans une terre remplie des bactéries et minuscules êtres vivants.
Oui, il ne manque que les chimiques censées rendre buvable l’eau de robinet…
Faut dire qu’il suffit ajuter la dose proportionnelle de Ricard et le tour est jouée … mais il n’y a pas que le pastis de Marseille dans la vie.
Souvent, partit en randonnée en autosuffisance donc, guitoune, nourriture, habits… dans les montagnes suisses, avec une seule pensée … pas d’écran tv ou ordinateur, j’ai croisée sur mon chemin des SAC qui m’ont détourné de mes idées du départ.
En effet, les refuges suisses sont plus que des abris de fortune. Des vrais hôtels avec tout ce qu’il le faut, un toit, le couchage (qui mérite son nom) et la nourriture (beaucoup meilleure que celle prise de chez soi).
Faut ne pas oublier la gentillesse des gens rencontres sur place.
Par rapport aux gens du coin, nous les randonneurs, on est que de passage, le lendemain on va retourner au quotidien, entourées par des murs en béton et censée faire face aux gens qu’on côtoie au titre des collègues du travail.
A ce titre, heureusement qu’il y a le lundi ou le retour des vacances …
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